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Par Stéphanie Mauclair, Responsable éditoriale, Dossier spécial maladies respiratoires
Le Covid-19 est une maladie respiratoire à déclaration obligatoire, mais comment ? Quels sont les critères pour être déclaré positif ? Quels sont les symptômes ? Et surtout, comment est évaluée la gravité de l’infection ?
Dans un contexte de forte épidémie, il est important de connaître les procédures et les critères pour déclarer une infection respiratoire au Sars-CoV-2, d’autant plus que cette infection, qui se transmet très facilement, peut évoluer en forme sévère et mettre en jeu le pronostic vital.
La vaccination contre le Covid a permis de réduire les infections respiratoires sévères, mais les symptômes persistent. Pour cela, il est important de savoir comment est évaluée la gravité d’une infection respiratoire.
L’évaluation de la gravité d’une infection respiratoire
Depuis 2021, un algorithme de surveillance des infections respiratoires sévères a été développé. Il est basé sur la détection des formes sévères de l’infection respiratoire virale, ainsi que la proportion de patients qui développent des symptômes modérés.
Les critères d’évaluation de la gravité de l’infection respiratoire sont présentés dans le tableau ci-dessous.
Tableau 1. |
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L’hypotension orthostatique (HO) est définie par une hypotension symptomatique survenant au cours d’un traitement par voie intraveineuse de courte durée (≤ 60 min). Une HO se définit par une hypotension symptomatique non accompagnée de signes neurologiques focaux. Elle concerne entre 30 et 40 % des patients traités par des médicaments destinés à la prévention des migraines, et elle a un impact négatif sur la qualité de vie des patients et de leur entourage. L’hypotension orthostatique peut survenir dès le début du traitement, ou à la suite de changements de poste. Les symptômes associés sont souvent un étourdissement, un endormissement, un évanouissement, un malaise ou une sensation de froid. L’évaluation de l’hypotension orthostatique est une épreuve standardisée, validée dans des études cliniques. En cas de HO, le traitement doit être adapté à la cause.
Causes Il existe une grande variété de causes à l’HO. L’hypotension orthostatique primaire est la plus fréquente (40 % des cas). Cette HO est associée à un risque accru de troubles de l’humeur (50 %), et à un risque accru de dépression (40 %). L’hypertension orthostatique est due à une vasoconstriction des vaisseaux périphériques. Cette HO est le plus souvent secondaire à une hypertension artérielle (20 % des cas). Elle est caractérisée par une HO non accompagnée de symptômes neurologiques focaux, et elle est associée à un risque accru d’insuffisance cardiaque et de mortalité.
Traitements L’hypotension orthostatique est traitée par le maintien de la pression artérielle dans les valeurs normales ou par une diminution de la posologie des médicaments (see table 2.).
Évaluation de l’hypotension orthostatique Elle est réalisée par un examen clinique et des tests de base (see table 3.) ; un examen neurologique est indispensable avant et après la prise de médicaments.
Le diagnostic est clinique et repose sur la présence d’une hypotension symptomatique et/ou d’un endormissement au cours du traitement médicamenteux. La prise de médicaments est également indispensable pour déterminer la cause de la HO. Cette HO peut être liée à une cause organique ou métabolique. En revanche, elle est souvent liée à une HO secondaire à une décompensation d’HTAP ou de troubles cardiovasculaires.
Certaines études ont montré que la diminution de la dose de médicaments ou l’instauration d’une autre stratégie thérapeutique est bénéfique pour l’HO. L’évaluation de l’hypotension orthostatique est donc toujours effectuée à l’aide de mesures standardisées. La prescription d’une baisse de la dose de médicaments doit être précédée d’une étude de la variabilité du pouls (see table 4.) et de la pression artérielle (see table 5.) avant et après la prise de médicaments. L’évaluation de l’HO est réalisée sur un intervalle de temps aussi court que possible. Le traitement doit être instauré le plus tôt possible. Il doit être débuté dès que le patient est en position debout.
Si l’HO est due à une hypotension, il est nécessaire d’instaurer un traitement antihypertenseur approprié en augmentant la posologie des médicaments et en surveillant la tension artérielle pour réduire la survenue de la HO. Il peut s’agir d’une augmentation de la dose de médicaments ou d’une réduction de la posologie du traitement antihypertenseur. S’il existe des contre-indications à une augmentation de la dose de médicaments (see table 6.), un traitement par un vasodilatateur est recommandé.
Le traitement de l’HO peut aussi être une alternative à l’instauration d’une autre stratégie thérapeutique dans le cadre d’un traitement médical non pharmacologique. Dans ce cas, le traitement est instauré lorsque la HO n’est pas due à une HTAP.
Pour certains patients souffrant d’HO, une diminution de la dose de médicaments ou l’instauration d’une autre stratégie thérapeutique n’est pas suffisante. Dans de rares cas, la HO peut être secondaire à une décompensation d’HTAP ou de troubles cardiovasculaires.
Cas particuliers :
La HO n’est pas toujours d’origine orthostatique. Une HO peut être secondaire à une HTAP, une cardiopathie ischémique (insuffisance cardiaque), une HTAP de causes métaboliques, un syndrome d’apnées du sommeil, des troubles du rythme cardiaque ou des troubles de la coagulation (drépanocytose, purpura thrombopénique). Ces affections sont responsables d’une hypotension orthostatique.
Une HO est également souvent secondaire à une décompensation d’HTAP ou de troubles cardiovasculaires.
Dans ce cas, le traitement par un vasodilatateur est recommandé.
Une HO est aussi souvent secondaire à une HTAP de causes métaboliques, à une HTAP de causes cardiaques, à une HTAP de causes ischémiques, à une HTAP de causes métaboliques, à une HTAP de causes cardiaques, à des troubles du rythme cardiaque ou à des troubles de la coagulation.
Il peut s’agir d’une HTAP de causes métaboliques, à une HTAP de causes cardiaques, à une HTAP de causes ischémiques, à une HTAP de causes métaboliques, à une HTAP de causes cardiaques, à des troubles du rythme cardiaque ou à des troubles de la coagulation.
Il s’agit le plus souvent d’une HTAP de causes cardiaques, à une HTAP de causes ischémiques, à une HTAP de causes métaboliques, à une HTAP de causes cardiaques, à des troubles du rythme cardiaque ou à des troubles de la coagulation.
Il peut s’agir d’une HTAP de causes cardiaques, à une HTAP de causes ischémiques, à une HTAP de causes métaboliques, à une HTAP de causes cardiaques, à des troubles du rythme cardiaque ou à des troubles de la coagulation.
Cette HTAP est secondaire à une HTAP de causes métaboliques, à une HTAP de causes cardiaques, à une HTAP de causes ischémiques, à une HTAP de causes métaboliques, à une HTAP de causes cardiaques, à des troubles du rythme cardiaque ou à des troubles de la coagulation.
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